L'Agence
Sommes-nous maîtres de notre destin ? Ou sommes-nous manipulés par des forces invisibles ? David Norris entrevoit l'avenir que le Sort lui réserve et se rend compte qu'il aspire à une autre vie que celle qui lui a été tracée. Pour y parvenir, il va devoir poursuivre la femme, dont il est tombé follement amoureux, à travers les rues de New York et ses réseaux souterrains...
L'AGENCE/Réalisé par George Nolfi/En salle le 23 Mars 2011
Pour une fois l'auteur Philip K.Dick est plus célèbre que le réalisateur sur ce film. Adapté de l'une de ses œuvres, George Nolfi mets en scène son premier film avec un support, une histoire solide derrière, pourtant a première vue cela ne me parlé pas plus que ça, la bande annonce ne vendait pas son film assez bien malgré un casting plutôt avantageux.
David Norris est un politicien talentueux sa carrière décolle et il doit tout défoncer, être le numéro un, aidé par des collaborateurs talentueux, rien ne pouvait l'empêcher d'y arriver a part qu'un soir, ce jeune gars se rappelle sa jeunesse et fais le con. Ce fait ne passe pas inaperçu et lui coûte la victoire, prés a donner le discours de la défaite il tombe par hasard sur une jeune femme pas comme les autres, belle, naturelle, intelligente. Cette rencontre le chamboule profondément, ils s'échangent les numéros, mais bizarrement ils sont séparé. Alors qu'il essaye a nouveaux d'être élus, il retombent sur la femme dont il est amoureux, mais une agence a pour mission des les empêcher de ce voir, targuant que ce n'est pas leur destinés, malgré les risques Norris fera tout pour être avec elle …
Ce qui est bien avec des réalisateurs comme George Nolfi, c'est qu'ils écrivent aussi le scénario donc au moins on est sur qu'il sait ou il veut aller et apparemment la nouvelle de Philip K.Dick permet de développer l'histoire de plusieurs manière. Nolfi privilégie la romance, une romance semer d’embûches que personne n'aimerait avoir a surmonter, la dose de fantastique bien agréable et qui se greffe a cet histoire permet de réfléchir sur la notion de Destin, de libre arbitre, as t'ont vraiment le choix de faire ce que l'on désire ??? Mais hélas cette partie de fantastique est assez maladroite, notamment la fin qui est vite expédié malgré sa il y a de bonnes idées, l'utilisation de l'immensité de New York, le coup des passages souterrains, ainsi que la pluie qui les empêche de bouger...
Le casting est aussi bon que talentueux ; le couple formé par Matt Damon et Emily Blunt se révèle crédible et touchant, tout les deux étant a leur avantage, on sent Matt Damon vieillir dans sa vie de politicien, tandis qu'Emily Blunt en a chié pour devenir une danseuse crédible, deux carrières rudes, deux bonnes prestations; ensuite on trouve Terence Stamp en terreur du destin, qui s'en sort pas mal, John Slattery qui a un rôle moindre mais dans la même équipe, le jeune qui monte et que l'on voit souvent avec Anthony Mackie, a ne pas confondre avec les Maki, même prononciation mais pas du tout le même goût, car lui il est très bon ...
Une romance fantastique imparfaite .....
8 commentaires
J'ai bien aimé, quelques longueurs et baisses de régime mais j'ai trouvé ça bien foutu, assez pour qu'on plonge dans cet univers. La romance de science-fiction n'est pas si maladroite... 3/4
RépondreSupprimerOn se rejoint, concernant la romance je n'ai rien a dire, mais ces plutot la partie science-fiction qui est moins bien amené
SupprimerUn bon film imparfait. Comme tu le soulignes, la fin est torchée à la va vite et semble beaucoup trop simple. Heureusement que les belles idées et le casting sont là pour rendre le voyage sympathique.
RépondreSupprimerC'est bien vrai, ce qui est dommage ces ce manque de promotion flagrante et qui le désavantagé
SupprimerUn bon film dans l'ensemble mais comme tu le dis la fin est beaucoup trop vite expédié.
RépondreSupprimerOuai on a tous ciblé la meme faiblesse a la fin
Supprimerà Frederic Tarantino: oui, je trouve que la fin aurait mérité d'être un peu plus consistante.
RépondreSupprimerC'est bien vrai, mais bon on a espoir que le prochain de Nolfi, la fin soit réussis
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